Nom : Tempora
Prénom : Leowen ( surnom : Leo )
Âge : 18 ans
Rôle : Apprentie
Caractère : Leo est une jeune fille énergique et pleine d'entrain. Elle a d'ailleurs du mal à tenir en place trop longtemps ! Elle est courageuse et loyale, que ce soit envers des principes, des valeurs, des gens, ce qui fait d’elle une grande imprudente imprévisiblement imprévisible, une énorme déterminée et battante, doublée d'une gigantesque perfectionniste.
Elle a des manières qui parfois peuvent paraître un peu masculines, et est très franche. Elle aborde parfois une expression dure sur son visage, afin de mieux cacher sa fragilité.
Elle a un côté encore enfantin, qui fait qu'on ne lui donne pas 18 ans, faisant d'elle la bonne amie, la petite soeur, la rigolote de service, mais jamais quelqu'un qu'on prend vraiment au sérieux et c'est d'ailleurs un point sur lequel elle est susceptible. Elle dégage une sorte d'innocence pure et de délicatesse naturelle, et manque autant de tact qu'un enfant.
Elle adore par-dessus tout se déguiser et jouer des tours, alors faites attention…
Physique : Leowen, comme dit précédemment, a le physique d'une jeune fille de 16-17 ans, bien qu'elle en ait 18. Pas facile pour se faire prendre au sérieux ! Elle adore faire des mimiques, qu’elles soient sexy et craquantes ou ressemblant davantage à des grimaces taquines, ce qui la rajeunit, c'est vrai, mais cela fait tout son charme. Elle est assez petite (1m61), mince, a le cou fin, et les cheveux d’un blond profond dotés de reflets plus foncés, qui lorsqu’ils lui tombent sur les yeux la rendent un peu plus mystérieuse.
Ses yeux, majoritairement de couleur noisette/acajou, révèlent à la lumière du soleil d'agréables reflets cuivrés, donnant davantage de "profondeur" au regard de la jeune fille.
Histoire + Mort : Leowen est née d’une union qui n’aurait jamais dû être, entre un homme et une femme qui n’auraient jamais dû se rencontrer. C’était un printemps banal, passé à la fac en compagnie de cours et d’amitié en tous genre. Erika, la future mère de Leo, était alors une brillante élève, intéressante et juste en tout point. Elle avait un petit ami, dont elle était amoureuse et dont elle ne se lassait pas le moins du monde. Leur couple était fait pour durer, cela ne faisait de doute pour personne à la fac qui les voyaient comme un modèle.
Le destin en avait décidé autrement en plaçant Morgan sur la route d’Erika. La bibliothèque n’est pourtant pas le lieu privilégié pour les rencontres, mais ce fut ce samedi précis qui bouleversa leur vie à tous les deux. Il cherchait un livre d’architecture, elle en avait un dans les mains. Ils avaient mis longtemps à véritablement sympathiser et s’apprécier. De fil en aiguille, ils s’étaient rendus compte de leur puissante attirance réciproque et ne pouvant lutter, Erika se maudissant, ils s’abandonnèrent l’un à l’autre au dépend de toute morale. Erika lâcha tout pour lui, car elle était maintenant sûre qu’il était sa moitié, et qu’aucun autre ne pourrait la rendre heureuse. Ils finirent leurs études dans l’amour, se marièrent dans l’amour et moururent dans l’amour, peu de temps après les six ans de Leowen.
C’était un bête accident, une voiture les avait percutés violemment et tués sur le coup, ne leur laissant aucune chance de revoir leur tendre fille. Cette dernière fut alors placée en orphelinat. Elle avait toujours été une petite fille adorable, bien élevée et amusante, mais devint dissipée et rebelle. L’influence des garçons de l’orphelinat avec qui elle faisait les 400 coups ne devait pas y être pour rien dans ce changement radical de comportement, et dans ses manières parfois quelque peu masculines. Depuis cette époque elle a toujours été un peu en marge de la société, et il est difficile de la décrypter entièrement. Elle se passionnait pour les livres, où elle trouvait tout le temps matière à inventer des jeux, et grâce auxquels elle s’évadait de cette triste réalité.
Son adolescence se consuma très vite, ne lui laissant pour souvenirs qu’une période de jeux, d’amitié, mais un énorme manque d’amour.
A 16 ans, elle était déjà désillusionnée sur la vie, persuadée qu’elle n’y trouverait jamais un sens, et que de toute façon, elle n’était pas faite pour être heureuse sur terre. Il faut croire qu’elle était lucide, puisque deux ans plus tard elle était morte.
Ce jour là, le dernier de sa vie sur terre, un samedi de printemps, elle allait à la bibliothèque de la même façon que ses parents s’étaient rencontrés. Cela aurait pu être un signe, elle aurait peut-être pu y découvrir le but à sa vie, et ainsi combler le vide et le manque qu’elle ressentait cruellement depuis trop longtemps. Une fois de plus, le destin n’avait pas choisi cette voix là pour Leowen. Il avait fallu que ce jour, à 15h, un mec au volant d'un camion soit totalement bourré. Il avait même fallu qu'il la renverse au carrefour, alors que le feu était rouge et qu’il aurait fallu qu’il s’arrête.
Morale de l’histoire : l’alcool est méchant, et le destin change tout le temps de plan.
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) Tu es acceptée avec mention ! (Euh... ça existe ça ?^^)